L’actualité sportive et politique s’est entrecroisée ces derniers jours avec deux annonces marquantes : la reconversion de Tony Parker dans le coaching et le boycott par le Mali et le Burkina Faso du sommet africain sur la défense au Nigeria.
Légende vivante du basket-ball, quadruple champion NBA avec les San Antonio Spurs, Tony Parker a révélé son désir de devenir entraîneur. « J’ai toujours rêvé de coacher. Après avoir joué à plus haut niveau, je souhaite désormais apporter ma passion et mon expertise au développement de jeunes talents », a-t-il déclaré.
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L’annonce suscite un vif intérêt aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord, où l’ancien meneur des Spurs est perçu comme une source d’inspiration. Plusieurs clubs NBA étudient déjà la possibilité de lui offrir une place sur leur banc, misant sur son charisme et son expérience pour guider la nouvelle génération.
Sur un tout autre plan, l’Afrique de l’Ouest est secouée par une décision politique d’importance : le Mali et le Burkina Faso ont choisi de boycotter le sommet africain sur la défense organisé au Nigeria. Ce retrait traduit leurs inquiétudes quant aux stratégies de coopération militaire régionales, mais aussi un désaccord profond sur la manière d’aborder les enjeux sécuritaires du continent.
Entre ambition sportive et tensions diplomatiques, ces actualités illustrent deux réalités bien distinctes : la transmission d’un héritage sportif d’un côté, et la quête de stabilité sécuritaire de l’autre.
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