Tina Glamour, la mère de DJ Arafat était le vendredi 6 juin 2025 à Friday Show sur la Nouvelle Chaîne ivoirienne (NCI). Au cours de l’émission, elle a insisté qu’elle n’aime pas qu’on expose ses petits-enfants.
Invitée de l’émission Friday Show sur la Nouvelle Chaîne Ivoirienne (NCI), Tina Glamour, mère du regretté DJ Arafat, s’est exprimée sur plusieurs sujets liés à l’héritage de son fils, notamment la gestion de son image posthume et la récente remise d’un triple disque de platine.
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La chanteuse a déploré son absence lors de la cérémonie organisée le lundi 26 mai 2025 à Cocody, au cours de laquelle l’album posthume de DJ Arafat, Renaissance, a été couronné triple disque de platine par Africa Music & Charts (AMC). « La personne qu’on a appelée pour recevoir le prix aurait pu dire : “Je ne veux pas de problème, il y a la maman de DJ Arafat qui est là” », a-t-elle regretté.
Informée de l’événement par une vidéo diffusée sur TikTok, Tina Glamour confie avoir été blessée par ce qu’elle considère comme un manque de respect à son égard.
Elle est également revenue sur les tensions entourant les obsèques de son fils en 2019. « Au décès de DJ Arafat, on a presque détourné les funérailles de moi de part ma famille. Quand je parle de ma famille, je ne parle pas des arrivistes parents. On ne peut pas me haïr jusqu’à ce point. On doit me prendre comme une queen », a-t-elle déclaré avec amertume.
Autre point sensible abordé : la médiatisation de ses petits-enfants. « Je n’aime pas qu’on expose mes petits-enfants », a-t-elle martelé, rappelant son souhait de les protéger de la pression médiatique et des réseaux sociaux.
Malgré tout, un apaisement semble s’être dessiné après cet épisode. Tina Glamour affirme avoir été reçue par le notaire de son fils, qui l’a rassurée quant à la remise du trophée. « Finalement, je l’ai reçu. Il (DJ Arafat) a bataillé dur pour ce disque », a-t-elle conclu, émue.
Cette sortie médiatique remet sur la table les questions autour de la gestion du patrimoine artistique de DJ Arafat et du respect de la mémoire du « Daïshi », figure emblématique du coupé-décalé en Côte d’Ivoire.
Karina Fofana