Dans sa nouvelle chronique intitulée, « Note vocale » le journaliste sportif, Tibet Kipré citant une de ses sources, a indiqué qu’il y a de l’eau dans le gaz entre le sélectionneur national, Emerse Faé, et son employeur, la Fédération ivoirienne de football ( FIF). À l’en croire, Faé refuse le salaire de la FIF.
« Note vocale »
Faé refuse le salaire de la FIF. Il fallait s’y attendre. Il y a de l’eau dans le gaz entre le tout neuf sélectionneur national, Emerse Faé, et son employeur, la Fédération ivoirienne de football ( FIF).
Si les deux parties se sont accordées sur le principe de la nomination de l’ancien milieu des Éléphants comme patron du banc de la sélection A, ce n’est pas encore le cas quant aux détails liés à son salaire. De source bien informée, le comité exécutif de la FIF propose à Faé, un salaire en deçà de ce que touchait Jean-Louis Gasset. Ce que l’agente du technicien ivoirien, qui est son épouse, refuse catégoriquement. Elle réclame au moins l’équivalent de ce que percevait l’ancien sélectionneur des Éléphants. Mais la Fédération propose moins que ça. D’où le blocage quant à l’officialisation de la signature du contrat du bosse technique des Éléphants. » C’est pour rester modeste que Faé demande au moins 100.000 euros (65 589 672 FCFA) Sinon lui qui a gagné la Can, pourquoi il ne toucherait pas plus que Gasset ? « , s’interroge notre source.
Pour sûr, les discussions entre les deux parties continuent pour trouver une issue qui arrange tout le monde.
Après la présentation féérique de Faé au sponsor des Éléphants, voici ce qui coince donc pour finaliser et officialiser sa présence sur le banc des Éléphants.
La durée du contrat, elle, est fixée à deux années jusqu’à la Coupe du monde 2026.
Pour ce qui est de son staff technique, Faé a déjà validé les présences de Guy De Mel, d’Alain Gouamené et probablement de Félix Kouadio, le préparateur physique de l’Asec qui a terminé la Can avec eux. Faé devrait faire venir un Français dans son staff.
On le voit, tout n’est pas encore bouclé quant à l’officialisation du bail de 2 ans entre le sélectionneur national et l’instance fédérale.
NDLR : Le titre et l’introduction sont de la rédaction