Dans une vidéo publiée sur Facebook, Sabine Dié, entrepreneuse, présidente de la société immobilière KDS avait avoué à l’édition 2022 de la finale du concours Miss Côte d’Ivoire qu’elle est la Daishi des PDG dans les promotions immobilières.
A la faveur de la finale du concours de beauté Miss Côte d’Ivoire 2022, Sabine Dié s’était présentée en tant que présidente Directrice générale de DKS immobilier. Elle avait souligné que l’objectif de ses actions était de loger le maximum d’Ivoiriens. « L’objectif est de loger le maximum d’Ivoiriens. Il reste encore 9 millions à loger. On essaye au mieux d’aider le gouvernement », avait dit la femme d’affaires.
A lire aussi : Sabine Dié répond à Emmanuelle Kéïta : « Une femme mariée ne cause pas avec une petite fille »
Paré d’une tenue qui sortait de l’ordinaire ce jour-là, Sabine Dié avait laissé entendre que, «je suis la Daishi des PDG dans les promotions immobilières ». « L’année dernière (NDLR : 2021) la villa était de 50 millions FCFA, cette année (NDLR : 2022) nous allons doubler la mise à 100 millions FCFA qu’on offre au COMICI », s’était-elle empressée de dire. Elle avait fait savoir qu’elle voulait monter le bon exemple à la jeunesse, notamment aux jeunes filles. «Le message que je veux faire passer, c’est qu’un Ivoirien doit avoir un toit. Ce que je peux dire aux jeunes filles aujourd’hui, c’est de travailler et de croire en leur rêve », a-t-elle dit ce jour-là.
Se prononçant sur la miss 2022, elle avait fait observer que, « la Miss est très belle d’où la maison de 100 millions FCFA que je porte ».
Rappelons que Sabine Die, l’influenceuse ivoirienne qui s’est autoproclamée milliardaire, est sous le feu des critiques depuis le samedi 15 juillet 2023 à la faveur de son passage sur Radio Nostalgie. L’animatrice Yvidéro dans un direct sur l’émission ‘’Rien à Cacher’’ a dévoilé les choses cachées sur la femme d’affaires.
Selon les révélations de l’actrice, Sabine Dié avait payé sa voiture à crédit.
Lucien Kouaho (stagiaire)
Les avocats d’Emma Lohoues répondent à son bailleur : « C’est de la mauvaise foi »