Rigo Gervais s’est prononcé le mardi 29 juillet 2025 sur le traitement des entraineurs à l’extérieur sur La 3. Il affirme qu’au stade malien où il était, son entraineur de gardien de but avait une voiture de service.
« En Guinée où vous étiez avec l’AS Kaloum où vous étiez payé à 3 millions FCFA, est ce qu’il y avait des coachs guinéens qui étaient payé au même montant ? », demande le journaliste.
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« Ils avaient néanmoins des voitures de service. Ce n’est pas qu’on est étranger dans ces clubs qu’on roule sur de l’or. Mais quand j’étais au stade malien, mon entraineur de gardien de but avait une voiture de service. Ils étaient très bien traités. », répond Rigo Gervais.
A l’en croire, Kouadio Georges qui était au Djoliba de Bamako était aussi bien payé. « Il y avait le Real de Bamako qui traitait aussi bien ses entraineurs comme au Horoya Athletic Club de Guinée. C’est des clubs qui ont décidé d’avoir une marque déposée. Ils investissent sur leurs encadrements. En Côte d’Ivoire il faut que tous les clubs arrivent à copier le modèle. Le FC San-Pedro l’a réussi. L’Asec Mimosas est un très bon modèle. », a-t-il fait savoir.
Il affirme qu’au Mali chaque club a son terrain d’entrainement contrairement en Côte d’Ivoire. « Ici, des clubs n’ont pas de terrain d’entrainement. Et cela ne met pas l’entraineur et le joueur dans un certain confort. Ailleurs, les clubs ont décidé d’avoir une certaine image pour la grandeur de leur club. », a fait remarquer Rigo Gervais.
Pour lui, c’est la raison pour laquelle le salaire, les véhicules de fonction et les contrats sont respectés. « Des clubs en Guinée font des stages à l’extérieur. Ils vont au Maroc pour des stages de début de saison. », a-t-il fait savoir.
Karina Fofana
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