De son vrai nom Kobla Marie-Thérèse Taïba Chantal, dit Chantal Taïba était le vendredi 23 septembre 2022 sur le plateau de Life Week end de Life TV. A l’occasion, la chanteuse a affirmé qu’on se marie pour être épanoui. A l’en croire, on ne reste pas dans un foyer par rapport à la société.
Chantal Taïba
La reine du Matiko affirme avoir essayé d’atteindre ses objectifs. « Je ne suis pas quelqu’un qui regrette les choses qui sont déjà faites. Toutes les femmes ne sont pas appelées à devenir mères ou à être dans un foyer. Je prends toujours l’exemple des femmes qui étaient avec le Christ », a-t-elle fait remarquer avant de dire qu’elles n’étaient pas toutes mariées.
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Chantal Taïba à propos des femmes
Selon elle, il y en avait qui étaient mariées, qui avaient des enfants et il y en a qui n’en avaient pas. « Toutes les femmes ne vont pas avoir des enfants et toutes les femmes ne vont pas finir leurs vies dans un foyer. Il ne faut pas se contenter mais prendre les choses comme elles viennent », a conseillé l’auteure de ‘’ Femme d’honneur’’.
« J’ai été adoptée et moi aussi j’en adopté des enfants. J’ai éduqué des enfants, je m’en suis bien occupé, Dieu merci ils sont insérés dans le tissu social. Je leur ai inculqué des valeurs qui m’ont été inculquées », a-t-elle précisé.
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Elle a par ailleurs souligné que, « le mariage est pour être heureux, épanouie. On ne se marie pas ou on ne reste pas dans un foyer par rapport à la société pour dire qu’est-ce qu’elle va dire ou qu’est-ce que les gens vont penser ». Pour elle, « il faut être bien soi-même dans sa peau. C’est le plus important. Sinon, toutes les femmes ont un petit ami ou un fiancé. Mais si vous décidez d’officialiser la relation, c’est pour être épanoui ».
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Mais si ce n’est pas le cas, a-t-elle dit, « il vaut mieux partir et vous restez de bons amis que de se forcer et mourir un jour. On a connu tellement de ces de femmes qui ont voulu que la société retienne qu’elles sont mariées et à la fin elles ont perdu la vie ».
Rappelons que la reine du Matiko a commencé sa carrière en tant que choriste à l’Orchestre de la radio-télévision ivoirienne (ORTI), au début des années 1980. Elle est auteure de cinq albums.
Karina Fofana
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