Dans une publication sur son mur, Ketella Soroko, une militante féministe a rendu hommage à l’artiste Meiway, de son vrai nom Frédéric Désiré Patrice Ehui. Dans sa publication intitulée, ‘’ pourquoi Meiway est le meilleur artiste vivant ivoirien depuis toujours’’, elle a fait observer que depuis 1989, le créateur du zoblazo est devenu une icône de la musique ivoirienne.
Depuis 1989, Meiway est devenu une icône de la musique ivoirienne. D’un genre de base tradi moderne, il a défini son propre genre musical : le zoblazo aujourd’hui reconnu comme un genre musical propre. 200% Zoblazo reste une chanson intemporelle qui est dansée par aujourd’hui 4 générations ivoirienne. C’est un artiste complet qui arrive à s’adapter à tous les changements de préférence musicale ivoirienne.
A lire aussi : Le Roi 12 12 à Abidjan, accueilli par ses influenceurs « mendiants »
Du Coupé-decalé avec Dj Tassouman, ou du slow avec Yaya Denin ou du rap avec Black Kent (couvre-feu) C’est aussi un artiste engagé. En 1995 avec l’arrivée du VIH SIDA, il a sorti Death society (une merveille absolue). En 1997 il sensibilise sur la discrimination des albinos avec les génies vous parle. En 2009 pour sensibiliser sur les enfants de guerres il a sorti Mamadou et bineta.
A lire aussi : Meiway : 30 ans de carrière, une légende vivante
Mais c’est surtout notre Pharell Williams, notre Baobab le plus frais toujours sapé. Son élégance et son professionnalisme ont toujours été admiré dans le monde du showbizz. Loin de buzz inutile, il a toujours su s’imposer et trouver place dans la musique ivoirienne. Rendons Hommage à nos ambassadeurs de leur vivant. Merci le père Meiway
Ketella Soroko
Avant son concert le 18 février David Tayorault reçu par la ministre de la culture