L’auteur, Mon Bonheur N’Zué, 28 ans a mis sur le marché son premier livre intitulé, »Le journal d’adieu »(Roman) suivi de »un séjour dans l’au-delà » (Théâtre). C’est une œuvre de 109 pages éditée par Zénith Éditions et parue en avril 2023. Dans le roman l’auteur met en lumière une jeunesse gagnée par la facilité, l’envie, l’enrichissement illicite, etc avant de proposer des solutions.
Mon Bonheur N’Zué est un juriste de formation, né à Béoumi au centre de la Côte d’Ivoire. Ce jeune de 28 ans, diplômé des universités de Korhogo et de Bouaké, a débuté sa carrière d’écrivain avec son tout premier livre de 109 pages intitulé, »Le journal d’adieu »(Roman) suivi de »un séjour dans l’au-delà » (Théâtre).
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Dans l’œuvre, l’auteur dépeint les maux qu’incarne la jeunesse actuelle, maux dont toute la société pâtit, selon lui. Ces maux se caractérisent par la facilité, l’envie, l’enrichissement illicite, etc. « Une jeunesse sans repère qui n’hésite pas à recourir å des pratiques occultes pour s’offrir le luxe. Prétextant de la pauvreté de leur famille et d’une prétendue lutte pour l’amélioration des conditions de vie des leurs, la plupart des jeunes d’aujourd’hui et certains adultes voire des vieillards n’hésitent pas à marchander la vie de leurs parents ou proches contre la fortune », a déploré l’écrivain.
« Heureusement que le Droit ne reste pas souvent muet face å de telles abominations », s’est-il empressé de dire.
Pour remédier aux maux cités plus haut, Mon Bonheur N’Zué propose plusieurs solutions, notamment la responsabilisation par le travail et la répression (par la justice) des pratiques contre-humaines par le biais desquelles les jeunes acquéraient leur richesse.
Aspirant à une société meilleure, l’auteur dénonce à travers ce chef-d’œuvre, les tares comme l’irresponsabilité de certains parents face à leurs enfants. C’est donc une manière pour lui de sensibiliser les parents quant à leurs devoirs familiaux et d’appeler les jeunes à une prise de conscience, visant à les responsabiliser.
Notons que l’auteur est détenteur d’une maitrise en Droit Public et le master en Histoire du Droit et des Institutions obtenus à l’université Alassane Ouattara de Bouaké. Actuellement, il est enseignant contractuel de Droit à l’Institut de Technologie d’Abidjan (ITA), tout en embrassant la carrière d’écrivain qui a-t-il dit, est une passion pour lui.
Karina Fofana
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