Dans une vidéo publiée sur son compte Facebook, l’influenceuse Lolo Beauté est revenue sur les vidéos de Baltasar Ebang Engonga, un haut fonctionnaire de Guinée équatoriale, qui est au cœur d’un scandale sexuel qui provoque une onde de choc. Selon elle, toutes celles qui ont visionné la vidéo sont tombées sous le charme du haut fonctionnaire.
La polémique enfle autour de Baltasar Ebang Engonga, haut fonctionnaire de Guinée équatoriale, impliqué dans un scandale sexuel qui suscite de vives réactions sur les réseaux sociaux. En effet, plusieurs vidéos compromettantes le montrant dans des situations intimes ont fait le tour de la toile, provoquant une onde de choc et des débats passionnés. C’est dans ce contexte que l’influenceuse ivoirienne Lolo Beauté a réagi dans une vidéo postée sur son compte Facebook, où elle exprime sans détour son admiration pour l’homme au centre du scandale.
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Dans sa vidéo, Lolo Beauté n’a pas hésité à faire l’éloge de Baltasar, en déclarant être « tombée amoureuse » de lui après avoir visionné les vidéos. « Il est très extrêmement beau en bas. Arrêtons d’être hypocrites. Disons-nous la vérité. Toutes celles qui ont visionné les vidéos de Balthasar sont tombées sous son charme », a-t-elle lancé. Selon elle, Baltasar possède un charisme et une allure qui auraient séduit nombre de spectatrices.
L’influenceuse, connue pour ses propos directs, elle est même allée plus loin en affirmant que Baltasar aurait « tous les atouts qu’une femme recherche en un homme ». Pour elle, l’homme a été favorisé par la nature, et elle insiste sur le fait que cet homme incarne le type d’homme qu’elle aimerait dans sa vie.
Ces déclarations ont rapidement fait le buzz, suscitant des réactions mitigées. Certains internautes ont critiqué le manque de discrétion de Lolo Beauté, tandis que d’autres ont salué son honnêteté, bien qu’un certain malaise persiste face à l’aspect sensible de l’affaire. Par ailleurs, l’affaire Baltasar Ebang Engonga continue d’alimenter les discussions et met en lumière la question de l’exposition des figures publiques dans la sphère privée.
Le scandale soulève également des débats plus profonds sur le droit à la vie privée et les conséquences de la diffusion de contenus intimes sur les réseaux sociaux.
Rappelons que le vice-président Teodoro Nguema Obiang a réagi à la controverse sur la plateforme X (anciennement Twitter) en affirmant que, « les fonctionnaires surpris en train d’avoir des relations sexuelles dans leur bureau feront l’objet de mesures sévères » car il s’agit d’une « violation flagrante du code de conduite ».
Il a également ordonné l’installation de caméras de surveillance dans les tribunaux et les ministères afin de lutter contre les « actes indécents et illicites ».
Karina Fofana
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