Le journaliste ivoirien Herman Aboua a officiellement annoncé sa candidature aux élections législatives prévues pour le 27 décembre 2025. Il entend représenter le département d’Alépé à l’Assemblée nationale et porter haut la voix de sa région.
Lors de sa déclaration, Herman Aboua a lancé un appel fort à la population, notamment à la jeunesse, afin de transformer les espaces numériques locaux en véritables lieux d’échanges et de réflexion. « Nous devons faire de nos pages et plateformes locales des espaces d’idées, de propositions et de concertation pour le développement des 54 villages du département. Chaque voix doit pouvoir se faire entendre », a-t-il exhorté.
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Plaçant sa campagne sous le slogan « Pour que la voix d’Alépé compte », le journaliste-candidat a détaillé les principaux axes de son engagement. Il s’est notamment promis de redonner dignité et avenir à la jeunesse et aux villages, de valoriser les terres et les ressources locales, de créer des emplois durables, de protéger l’environnement et de favoriser un développement équilibré de chaque localité.

Au-delà des promesses électorales, Herman Aboua a insisté sur la dimension collective de sa démarche. Selon lui, sa candidature n’est pas une ambition personnelle mais une mission partagée avec toutes les communautés du département : Dzeudji, Memni, Montézo, N’gokro, Galékro, Motobé, Akouré et les 54 villages qui composent Alépé.
« Ne faisons pas de nos pages des espaces de propagande, mais des laboratoires d’idées et des chantiers d’avenir. Ensemble, écrivons une nouvelle page pour Alépé », a-t-il lancé, invitant les habitants à l’unité et à la participation citoyenne.
À travers cette entrée en politique, Herman Aboua souhaite incarner une nouvelle génération de leaders locaux, proche du terrain et déterminée à faire entendre la voix des populations rurales au sein du Parlement. Son engagement, affirme-t-il, repose sur une conviction simple : le développement d’Alépé ne peut se construire que par la solidarité, la transparence et l’action concertée de tous ses fils et filles.
Lucien Kouaho (stagiaire)
 
			



























