La célèbre animatrice Konnie Touré a fait une publication sur son compte Facebook, relativement à son port de voile. Elle affirme que depuis le port du voile, elle a compris que sa foi pouvait être sa force.
La célèbre animatrice ivoirienne Konnie Touré a récemment partagé un message sur son compte Facebook, revenant sur sa décision de porter le voile il y a plus d’un an. Dans cette publication, elle explique comment cette démarche spirituelle a renforcé sa foi tout en lui permettant de devenir une source d’inspiration pour d’autres femmes.
A lire aussi : Konnie Touré à propos du monde du Showbiz : « Attention, ce milieu est toxique »
« Quand j’ai décidé de porter le voile il y a plus d’un an, j’ai compris que ma foi pouvait être ma force », a écrit Konnie Touré. En optant pour ce symbole de modestie, elle affirme avoir trouvé une nouvelle manière d’exprimer sa spiritualité et sa confiance en elle-même.
Cette décision va au-delà du simple choix personnel : pour Konnie, il s’agit également de montrer qu’il est possible d’allier élégance, identité et spiritualité.
À travers sa marque Ikônes, Konnie Touré souhaite redéfinir la modestie avec élégance. Elle propose des créations uniques destinées aux femmes désireuses d’exprimer leur style tout en restant fidèles à leurs convictions.
« À travers mes créations, je veux rappeler qu’il est possible d’allier style, identité et spiritualité. Chaque pièce raconte une histoire, celle d’une femme qui choisit d’être fidèle à elle-même », a-t-elle ajouté.
La célèbre animatrice n’a pas manqué de remercier les femmes qui la soutiennent dans ce projet, soulignant que ce sont elles, les véritables « Ikônes ». Sa publication a suscité de nombreuses réactions positives sur les réseaux sociaux, où plusieurs fans saluent son courage et sa vision.
En portant le voile avec assurance et en lançant une marque qui célèbre la spiritualité féminine, Konnie Touré prouve une fois de plus qu’elle est une femme aux multiples facettes, capable de transformer ses convictions personnelles en une mission collective.
Karina Fofana