L’artiste-chanteur ivoirien JC Pluriel revient sur son parcours musical avec fierté, convaincu d’avoir marqué sa génération par ses compositions empreintes d’espoir et de positivité. Selon lui, ses chansons ont inspiré certains, donc il ne peut qu’en être fier.
« En 2012, quand je démarrais ma carrière musicale avec la chanson L’année de mon année, suivie de Héros des temps, les chansons d’espoir n’étaient pas autant prisées par la génération actuelle d’artistes », se souvient-il. À travers ses textes porteurs de messages d’espérance, JC Pluriel affirme avoir ouvert une voie qui a depuis inspiré plusieurs confrères.
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Même durant son retrait momentané de la scène, il a constaté que d’autres ont emboîté le pas, en proposant à leur tour des compositions axées sur l’espérance. « Si ce n’est pas le thème de l’espoir qui est abordé, c’est la rythmique 12/8 que j’ai moi-même empruntée sur la chanson Tapé dos de Magic System. Bébi Philippe, en tant qu’arrangeur du coupé-décalé, y a apporté sa touche, et le succès a suivi », explique-t-il.
Selon lui, ses titres emblématiques ont ouvert la voie à une nouvelle vague musicale. « Après L’année de mon année et Héros des temps, on a vu fleurir d’autres chansons similaires comme Le jour de mon jour ou encore L’heure de mon heure. On n’en parle pas assez, mais il faut quand même reconnaître que mes chansons ont inspiré d’autres. Je ne peux qu’en être fier », insiste JC Pluriel.
Pour l’artiste, être un modèle est une responsabilité assumée. « C’est une bonne chose d’être un creuset dans lequel des gens puisent pour s’inspirer », confie-t-il avec enthousiasme.
Avec son nouvel album Cœur vaillant, composé de 12 titres, JC Pluriel entend poursuivre cette dynamique. Son ambition est claire : inscrire ses textes dans des catalogues musicaux et leur donner une portée internationale. « Je veux que mes chansons soient écoutées au-delà des frontières ivoiriennes », conclut-il.
Lucien Kouaho (stagiaire)
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