Le président de la marée Vert et Rouge, Babou Eric a expliqué sur les antennes de Life TV dans l’émission Le Grand Talk que les supporters de l’Africa Sport sont inquiets avec tout ce qui se passe. Cependant, il rassure que l’équipe reste déterminée à monter en première division.
Le président de la marée Vert et Rouge de l’Africa Sport, Babou Eric était sur les antennes de Life TV. Ce, à quelques jours du dernier match de l’équipe, prévu pour le 14 juin 2024 au Stade Régional de Korhogo contre l’US Tchologo.
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Selon Babou Eric, « la situation est difficile, les Membres Associés sont vraiment inquiets parce que ça fait un moment que nous sommes en deuxième division. C’est beaucoup pour un club mythique comme l’Africa Sport. Cette année nous avons grand espoir de pouvoir monter. »
Il a fait savoir que le chemin de la monté en Division 1 est parchemin d’embuches. « Evidemment sur la route ce n’est pas facile. Nous le constatons tous. Surtout avec ces problèmes de réclamations. Ça fait quatre fois que des équipes sortent du terrain. Ce qui veut dire qu’il y a un problème. », a-t-il souligné.
A l’en croire, l’objectif premier des Verts et Rouges est la montée en première division. « Nous, de notre côté, nous avons un seul objectif : c’est de gagner notre dernier match et on les laisse se ‘’battre’’. », a-t-il dit.
Sur la question du joueur de l’Africa Sport qui a joué avec une fausse identité, il affirme que le comité directeur de l’équipe a dit que le joueur en question a déjà joué avec cette identité ailleurs. « Donc ce n’est pas l’Africa qui a créé ses papiers. Ce n’est donc pas à l’Africa d’assumer. C’est la FIF qui a validé depuis longtemps. », s’est empressé de dire l’ancien international.
Il a fait remarquer que, « si vous êtes émotif que vous y mettez beaucoup d’émotions, vous allez vous dire qu’on veut vous mettre les bâtons dans les roues. Mais quand il y a des problèmes, il est normal que les gens le soulignent. Ça fait partie des règles. Si l’Africa a fauté les gens vont sauter dessus. Mais je pense que nos dirigeants sont assez responsables ».
Karina Fofana
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