La chroniqueuse et présentatrice ivoirienne Annie-France Bamba est sortie de son silence pour répondre aux accusations persistantes, selon elle, de l’artiste coupé-décalé Vitale. Dans une déclaration publique, l’animatrice a tenu à rétablir ce qu’elle considère comme des vérités, tout en exprimant sa lassitude face aux reproches récurrents de la chanteuse.
« Je me suis excusée, et je l’ai encore fait précisément le jour de son anniversaire, quand j’ai découvert qu’elle partageait la même date que ma mère. Nous avons rigolé et elle est partie », a confié Annie-France, avant de rappeler que, malgré ses excuses, Vitale a multiplié les sorties médiatiques où elle l’accuse indirectement de nuire à sa carrière.
A lire aussi : Nadiya Sabeh à propos de Roseline Layo et Josey : « Elles n’ont pas besoin de division »
Selon l’animatrice, la chanteuse lui imputerait régulièrement la responsabilité de ses difficultés. « Chaque fois que quelqu’un lui parle mal, elle me rejette la faute. Exemple : Kévin Obin. J’ai soi-disant gâché sa carrière, mais elle a fait le plein du Palais de la Culture, elle a fait des feats, des spectacles, et même M. Barthélémy Inabo a pris des souches de tickets », a-t-elle insisté.
Annie-France Bamba dit ne pas comprendre les motivations de Vitale, qu’elle accuse de vouloir attirer la pitié du public. « Très bientôt, il y a les Primud. Elle recherche quoi ? La pitié ? Depuis cinq ans, je n’ai jamais répondu, je n’ai jamais fait de post ni publié de photos pour dire qu’on s’est parlé, c’est fini », a-t-elle déclaré.
L’animatrice a également évoqué d’autres épisodes où son nom a été cité sans raison, comme lorsque Shola a accusé Vitale d’infidélité. « Chaque fois qu’elle passe dans une émission, elle trouve le moyen de parler de moi. Récemment encore, dans l’émission de Yasmine Reda, elle a dit que les sponsors lui ont tourné le dos parce qu’elle était mariée et que c’est son mari qui avait financé son concert. Mais à quel moment ai-je gâché sa carrière encore ? », a-t-elle interrogé.
Fatiguée de ce qu’elle considère comme une campagne d’accusations injustifiées, Annie-France conclut en lançant un appel à l’opinion publique : « J’espère que vous vous souviendrez de mes écrits. »
Lucien Kouaho (stagiaire)