Diogo Jota, 28 ans, attaquant portugais de Liverpool, et son frère André Silva 25 ans, ont tragiquement perdu la vie dans un accident de voiture survenu dans la nuit du mercredi 2 au jeudi 3 juillet 2025 en Espagne. Une disparition brutale qui a profondément ému la planète football, à commencer par son coéquipier et ami, Andrew Robertson.
L’attaquant portugais de Liverpool, Diogo Jota, 28 ans, et son frère cadet André Silva, 25 ans, ont perdu la vie dans un tragique accident de voiture survenu dans la nuit du mercredi 2 au jeudi 3 juillet 2025, en Espagne. La nouvelle a bouleversé le monde du sport, provoquant une vague d’émotion à travers les clubs, les supporters, et surtout ses coéquipiers.
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Parmi les hommages, celui de Andrew Robertson, latéral gauche emblématique de Liverpool et ami proche de Jota, a profondément touché les fans. Dans un message publié ce vendredi matin, le joueur écossais a exprimé toute sa douleur et son attachement à celui qu’il considère non seulement comme un partenaire, mais comme un frère.
« Ceux à qui je pense le plus en ce moment sont sa famille. Leur perte est trop lourde à porter. Je suis tellement désolé qu’ils aient perdu deux âmes si précieuses : Diogo et André. Pour l’équipe et le club, nous essaierons de surmonter cette épreuve ensemble… quel que soit le temps que cela prendra. », a-t-il déclaré.
Andrew Robertson n’a pas hésité à rappeler les qualités humaines de Jota, bien au-delà du terrain. « Je pourrais parler de lui en tant que joueur pendant des heures, mais tout cela n’a plus d’importance pour l’instant. C’est l’homme. La personne. C’était un type tellement bien. Le meilleur. Tellement authentique. Juste normal et vrai. », a énuméré Andrew Robertson.
Le joueur évoque également les souvenirs joyeux partagés avec son ami, notamment leur passion commune pour les fléchettes et les courses hippiques.
« C’était le joueur étranger le plus britannique que j’aie jamais rencontré. On plaisantait en disant qu’il était vraiment irlandais… J’essayais de le qualifier d’écossais, évidemment. Je l’appelais même Diogo MacJota. », a-t-il fait savoir.
Mais c’est surtout l’image du mariage de Diogo Jota, il y a quelques semaines à peine, qui reste gravée dans sa mémoire : « La dernière fois que je l’ai vu, c’était le plus beau jour de sa vie : son mariage. Je veux me souvenir de son sourire indéfectible lors de ce jour magique. »
En conclusion, Andrew Robertson a adressé un dernier mot d’amour et d’adieu à son ami. « C’est trop tôt, et ça fait tellement mal. Mais merci d’être dans ma vie, mon pote, et de l’avoir rendue meilleure. De l’amour qu’il débordait pour sa femme et sa famille. J’ai du mal à croire qu’on se dise au revoir. C’est trop tôt, et ça fait tellement mal. Mais merci d’être dans ma vie, mon pote, et de l’avoir rendue meilleure. Je t’aime, Diogo. », a-t-il terminé.
Karina Fofana