Makosso Camille a présenté sa carte de presse, se présentant comme un journaliste. En réaction, le journaliste Philippe Kla, ex-président de l’Union des Journalistes Culturels de Côte d’Ivoire (UJOCCI) a fait savoir que, c’est un autre « dòhi » (mensonge) que Camille Makosso a monté de toute pièce.
Avec mon très cher confrère. Son annonce d’être désormais de la corporation m’a tellement fait plaisir que je me suis permis de féliciter particulièrement le président de l’Organisation professionnelle des médias à laquelle est membre notre nouveau confrère. A l’association des correspondants de presse, l’homme n’est pas dans leurs livres, pareil pour l’association des journalistes de Cocody. A l’UNJCI, il n’est non plus pas répertorié.
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Comme c’est mon type et que je le sais proche du milieu artistique et culturel, j’ai pris langue avec le Président de l’UJOCCI et lui non plus ne connaît pas notre confrère. Je me suis tourné vers les associations de photographes, personne ne le connaît. Volontairement, j’ai décidé de ne pas saisir le président de la Commission d’attribution de la CIJP.
Finalement, j’ai compris que c’est un autre « dòhi » que notre type a envoyé. Surtout après une appartenance controversée, et vite recadree, à l’EMPT et même dans le corps du Christ. Ne soyons donc pas si durs avec lui. On pourra l’accueillir à bras ouvert et l’inscrire d’abord dans une école pour suivre les cours du soir afin d’améliorer son écriture pour lui éviter de grossières et flagrantes erreurs sur une carte dite de presse.
L’amour d’une profession ne fait pas automatiquement de toi un professionnel de ce métier.
Philippe Kla
NDLR : Le titre et l’introduction sont de la rédaction
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