Une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux montrant le père malade de Camille Makosso a suscité de vives réactions et de nombreuses critiques à l’encontre du «Général» Camille Makosso. Face à la polémique, l’influent leader d’opinion ivoirien a choisi de répondre publiquement, ce dimanche 10 août 2025, à travers une vidéo publiée sur sa page Facebook.
D’entrée de jeu, Camille Makosso a dénoncé ce qu’il considère comme une campagne de déstabilisation orchestrée par des proches. « Oxymore, je suis trop rapide pour vous ! Jusqu’au 25 octobre 2025, je serai votre cauchemar, je serai votre trouble sommeil », a-t-il lancé, affirmant être prêt à « mourir pour la Côte d’Ivoire ».
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Makosso accuse directement certains membres de sa famille, en particulier une tante résidant en France et affiliée, selon lui, au Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI), d’être à l’origine de la diffusion des images de son père. « Tantie, tu es censée me protéger, mais c’est toi qui donnes aux gens l’idée d’aller filmer mon père pour mettre sur les réseaux sociaux », a-t-il déclaré, dénonçant également l’implication supposée de son cousin Marius.
Le « Général » affirme que cette tante aurait même proposé des « choses » à un autre cousin, qui les aurait refusées. Il accuse ses proches d’avoir instrumentalisé la situation familiale à des fins de nuisance.
Répondant aux accusations d’abandon, Makosso rappelle que son père a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) grave, qui l’a plongé dans le coma. « Qui n’a pas un papa qui a fait un jour un AVC ? Mon père a eu un AVC, je vous l’ai déjà expliqué ici. Ma tante et mon cousin ne sont jamais venus le voir », a-t-il insisté.
Notons que , Camille Makosso rejette catégoriquement toute idée d’avoir laissé son père sans assistance, assurant qu’il a toujours été présent à ses côtés malgré les divisions familiales. Entre temps, la polémique continue toutefois d’enflammer les réseaux sociaux, où partisans et détracteurs s’affrontent autour de cette affaire familiale devenue publique.
Lucien Kouaho (stagiaire)
