L’International Testing Agency (ITA), chargée depuis six ans du programme antidopage des JO, a fait savoir le mercredi 23 juillet 2024 que près de 90 % des participants aux JO de Paris ont été contrôlés dans les mois précédant le début des épreuves.
Alors que les JO de Paris viennent tout juste de démarrer, l’International Testing Agency (ITA) annonce que près de 90 % des participants ont été contrôlés depuis le début de l’année, dans le cadre du programme antidopage préolympique.
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L’agence internationale, qui s’occupe depuis six ans du programme antidopage des JO, précise que cette proportion de tests atteint les 100 % dans les sports jugés les plus à risque, comme l’haltérophilie – qui représente le quart des cas positifs dans l’histoire des JO -, le triathlon et la nage en eau libre, ainsi que 99 % pour la gymnastique et 89 % pour l’athlétisme.
Parmi les délégations qui affluent dans la capitale française, la natation chinoise est particulièrement surveillée depuis la révélation, en avril, que 23 de leurs athlètes avaient été testés positifs en amont des JO 2020 de Tokyo mais jamais sanctionnés, les autorités antidopage chinoises ayant conclu à une contamination alimentaire.
Au total, l’agence internationale a dénombré « plus de 32 600 » tests menés sur les participants aux JO depuis le 1er janvier, « soit 45 % de plus que dans les six mois précédents pour la même population d’athlètes ». Une montée en puissance destinée à couvrir la préparation finale et les qualifications pour les Jeux de Paris.
Générations Nouvelles
NDLR : Le titre et l’introduction sont de la rédaction
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