Des élèves de plusieurs établissements ont pris part à la deuxième édition du concours de physique-chimie le samedi 13 avril 2024 au Lycée moderne 2 de Gagnoa dans la région du Gôh.
Plusieurs élèves, issus des différents établissements secondaires ont pris part, ce samedi 13 avril, au Lycée moderne 2 de Gagnoa, à la 2e édition du concours de physique-chimie. En fonction de leurs niveaux d’études, les candidats ont eu droit à des épreuves diversement appréciées. Si pour les uns, les sujets étaient abordables, pour les autres, c’était le contraire.
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Dans cette dernière catégorie se trouve Jémima Zadé, élève au collège « Enfants Jésus ». L’apprenante en classe de 5e dit avoir trouvé le sujet « un peu difficile », même si elle a fait de son mieux. Même son de cloche chez Marie-Joelle Ahoué, élève en classe de 2nd C au Lycée 2. « La compétition n’a pas été facile mais chacun a fait de son mieux », a laissé entendre la candidate. Au contraire de Ely Trazié Bi, du collège « Entente » pour qui le sujet était prenable.
« Le sujet n’était pas difficile, je me suis bien débattu et je pense que je serai parmi les meilleurs », souligne l’élève en classe de 6e. « Les sujets étaient à notre portée. On a beaucoup apprécié cela », souligne à son tour, Jonathan Tapé en classe de 2nd C au collège Zady. Pendant que Marie Yah affirme que la compétition était abordable. Toutefois, elle laisse son sort entre les mains du créateur.
« Dieu fera le reste », a indiqué la jeune fille. Auparavant, le secrétaire général de la direction régionale de l’Education nationale (Drena) a réuni dans la salle des professeurs, les candidats et leurs parents pour les entretenir. Firmin Akichi a mis en confiance les candidats puis il a salué les parents qui ont tenu à accompagner leurs enfants jusqu’au lieu de la composition. Le représentant du Drena n’a pas manqué de saluer les organisateurs du concours.
« Merci à L’Amephy pour cette initiative qui consiste à organiser ce concours chaque année au niveau des élèves », a déclaré le secrétaire général. Il pense que cette approche permettra de renforcer les acquis des élèves dans cette discipline, qui, comme les mathématiques, est qualifiée de « bête noire », chez certains élèves. Notamment les jeunes filles.
Rappelons que l’Amephy regroupe tous les enseignants de la physique-chimie de la région du Gôh ainsi que les encadreurs pédagogiques de cette discipline.
Générations Nouvelles
NDLR : Le titre et l’introduction sont de la rédaction