Le général Makosso Camille, comme il se fait appeler, était sur le plateau de peopl’Emik le lundi 4 octobre 2022. Il a fait savoir que ses rapports avec Dieu, c’est à l’église car Facebook n’est pas une église. Il a souligné que sa vie est la plus parfaite.
Le général Makosso Camille a indiqué que ses rapports avec Dieu, c’est à l’église. « Est-ce que Facebook est une église ? Sur les réseaux sociaux on n’entend pas que des vulgarités. Hier j’étais en direct avec plus de 3500 personnes. Ma vie est la plus parfaite », a-t-il indiqué.
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A en croire le chroniqueur Anaconda, Makosso aurait dit que le plus grand client des « géreuses de bizi » (NDLR : prostitution déguisée) en Côte d’Ivoire est un pasteur. Sur cette question, la réponde de l’homme de Dieu ne s’est pas faite attendre.
« Prenez toujours le contexte quand Makosso parle. Je parlais des trois fois saints. C’est-à-dire des personnes qui aiment critiquer les autres. Je suis le porte-parole national des pasteurs de ce pays devant l’Etat. L’identification des pasteurs et des cartes c’est moi qui m’en occupe », s’est-il proclamé.
A l’en croire, nous ne devrons pas passer notre temps à juger. « Mais nous devront nous concentrer sur notre misère chacun et de façon individuelle. Ne confondez pas une mauvaise vie et un tempérament mais vous n’entendrez jamais quelqu’un vous dire que cet homme est sorti avec ma femme ou il m’a escroqué », a-t-il précisé.
« Ça fait cinq ans que je suis sur les réseaux sociaux. Je mets une prime de 10 millions FCFA pour celui qui trouve quelqu’un qui viendra témoigner contre moi. En temps normal, on doit créer une brigade spéciale contre les « géreuses de bizi » dans ce pays », a proposé Makosso.
Il a affirmé avoir mis en place le réseau national des jeunes entrepreneurs. « A partir de fin novembre, je lance le plus grand vaste programme de financement des jeunes de ce pays sans qu’ils aient à débourser 5 FCFA. Je le ferai sur fonds propres en prenant le soin de mettre la pression sur certains partenaires étrangers dans le cadre de la lutte contre l’immigration clandestine », a-t-il dit.
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« Déjà c’est un budget d’autour de 12 millions FCFA que nous mettons en place chaque année pour financer les petits projets de certaines filles qui se disent fatiguées de cette vie de débauche », a révélé Makosso.
Karina Fofana
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