En prévision du match opposant la Côte d’Ivoire à la République démocratique du Congo (RDC) le mercredi 7 février 2024, le sélectionneur ivoirien, Faé Emerse, accompagné de Max Gradel, a tenu une conférence de presse au Palais de la culture de Treichville. Au cours de cet échange avec les médias, Faé Emerse a souligné l’importance de la confiance pour affronter la RDC.
« C’est vrai que les deux derniers matchs, on a eu du mal à l’entame. On a concédé le premier but et on a eu du mal à revenir au score. Face à la RDC, on va profiter de la confiance. Je connais mes adversaires de demain, et je sais comment les affronter mais je ne le dirais pas », déclaré Faé Emerse, exprimant ainsi sa confiance en l’équipe ivoirienne malgré les difficultés rencontrées lors des précédents matchs.
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Le sélectionneur a également évoqué la nécessité de la solidarité au sein de l’équipe. « Avant le match du Sénégal, on revenait de loin. Il fallait redonner de la confiance au groupe. Il faut être solidaire. Quand on regarde les équipes encore en compétition, par exemple le Nigeria, elle a un groupe solide. La Côte d’Ivoire a individuellement des joueurs de talents mais c’est dans la solidarité que nous pouvons gagner. Il faut jouer sur la confiance retrouvée pour jouer notre jeu à nous », a-t-il fait savoir. Par ailleurs, Faé Emerse a souligné l’importance des décisions tactiques et des contributions individuelles des joueurs.
« Chaque fois que nous faisons des changements, les joueurs ont été décisifs. Quand c’est ainsi, on dit que l’entraîneur a un coaching gagnant. Mais il n’en sera pas tout le temps », a-t-il dit.
Max Gradel, joueur de l’équipe, a également partagé ses impressions sur l’état d’esprit de l’équipe. Selon lui, « l’état d’esprit du groupe est bon. On va aborder le match dans de bonnes conditions. Je pense que chaque génération vit son temps. La génération précédente a eu son temps. La génération actuelle est en train d’écrire son histoire. C’est la même famille. Il est important de mettre la tête à l’endroit. Ça va aller très vite. On s’est reconcentré très vite », a-t-il conclu.
Lucien Kouaho (stagiaire)
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