Le journaliste ivoirien Fernand Dédeh dans sa chronique adressée à Barthélémy Inabo ce samedi 24 juin 2023 s’est prononcé sur la nouvelle condition instaurée par la Confédération Africaine de Football (CAF) pour obtenir la licence. A en croire le journaliste, il faut en plus « disposer d’une section féminine de football ».
La Confédération Africaine de Football imposera une licence à tous les clubs membres de ses associations à partir de la saison 2023-2024. Cette nouvelle exigence de la CAF vise à promouvoir le développement et la professionnalisation du football féminin africain. Le journaliste ivoirien Fernand Dédeh dans sa chronique à Barthélémy Inabo ce samedi 24 juin 2023, s’est prononcé sur cette décision. Pour lui, la CAN de l’hospitalité va éclairer le football local d’un nouveau rayon.
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Sur la position de la FIF concernant cette décision, le journaliste a affirmé que, « la Fédération ivoirienne de Football a décidé de passer à la vitesse supérieure en mettant en pratique, les recommandations de la CAF, concernant les équipes de la ligue 1. Il a rappelé que depuis 2013, le cahier de charges de la CAF imposait, pour les clubs participant aux compétitions régionales, un stade pour chacune d’elle, un entraîneur qualifié, des équipes de catégories Juniors et Cadets, un comptable assermenté.
Poursuivant, il a rappelé que la fédération ivoirienne mettait en œuvre ce cahier de charges, seul un club en Côte d’Ivoire aurait été éligible. Selon lui, « la CAF a mis un nouveau tour de vis : Pour obtenir la licence CAF, il faut en plus disposer d’une section féminine de football. Nous sommes à la fin de la saison. La question est maintenant de savoir si la fédération va aller au bout de sa logique. Ce serait la fin d’une époque et c’est à encourager et soutenir. Le masque arrive dans la case du père ».
Lucien kouaho (stagiaire)